Un parcours inspirant, une expérience unique
Nos diplômées et diplômés partagent avec nous leur parcours, nous racontent leurs souvenirs et expériences vécues dans nos différents centres de recherche et de formation.
Leur passage à l’INRS a été marquant et leur a ouvert des possibilités infinies pour leur carrière.
Découvrez leur histoire...
Stéphane Ruggeri (Doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, 2003)
Spécialiste Croissance et Innovation, Développement économique de l’agglomération de Longueuil
« Il faut rester ouvert et curieux. Ce qu’on apprend peut s’appliquer de bien des façons, parfois inattendues, dans divers secteurs. »
David Garces-Gonçalves (Doctorat en biologie, 2015)
(Maîtrise en sciences expérimentales de la santé, 2011)
Conseiller en promotion de la santé, Direction de santé publique, Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval
« [ À l'INRS,] chaque étudiant pouvait être l’artisan de sa propre carrière. C’était à nous de construire notre CV à partir de la mosaïque d’expériences que l’INRS mettait à notre disposition. C’était notre choix d’ouvrir ces portes ou pas. »
François Blanchard (Doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, 2010)
(Maîtrise en sciences de l’énergie et des matériaux, 2003)
Professeur, École de technologie supérieure (ÉTS)
« Les gens qu’on rencontre durant notre parcours peuvent être ceux ou celles qui vont dévier notre trajectoire sans qu’on le voie venir ! »
Stephan Séjourné (Doctorat en sciences de la Terre, 2007)
(Maîtrise en sciences de la terre, 2000)
Président et fondateur, Enki GéoSolutions
« Quand on finit une maitrise ou un doctorat, on maitrise un sujet, mais on ne connaît pas tout. Il faut être sûr de soi, mais retenir qu’on a surtout appris à apprendre. C’est cette posture qui nous permettra de résoudre des problèmes complexes et d’éviter les solutions de facilité »
Suzie Bélanger (Maîtrise en sciences de l’eau, 1993)
Experte en gestion des déchets miniers et de l’environnement
« Je me souviens, à l’époque, quand je disais que je faisais une maîtrise en environnement, on me disait : “tu vas planter des fleurs?”. Aujourd’hui, la question ne se pose plus ! »
Guillaume Grenon (Maîtrise en pratiques de recherche et action publique, 2017)
Conseiller au transfert de connaissances, Cégep régional de Lanaudière (CERESO)
« La proximité avec les collègues étudiant·e·s et enseignant·e·s est l’une des grandes forces du Centre Urbanisation Culture Société. La communauté étudiante évolue dans un environnement professionnel, allant au-delà de l’académique. En tant qu’étudiant·e, cela aide à se projeter dans sa trajectoire professionnelle. »
Simon Barnabé (Ph. D. sciences de l’eau, 2005)
Conseiller scientifique en chef, Ville de Victoriaville, et professeur à l’Université du Québec à Trois-Rivières
« M’imprégner de la culture de l’INRS va m’aider toute ma vie, non seulement dans ma carrière, mais aussi dans mon développement personnel, parce que la démarche scientifique que j’ai acquise à l’INRS, je l’applique partout, même à l’épicerie ! »
Mathieu Giguère (maîtrise en sciences de l’énergie et des matériaux, 2010)
Conseiller principal, planification de l’exploration spatiale, Agence spatiale canadienne
« Le laboratoire ALLS est un joyau trop bien caché, les domaines de recherche foisonnent à l’INRS et la qualité du travail réalisé gagnerait à être mieux connue. »
Antony Bertrand-Grenier (maîtrise en énergie, matériaux biophotoniques, 2012)
Physicien médical au CIUSSS de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec, professeur associé, auteur et doctorant en épistémologie à l'Université du Québec à Trois-Rivières
« Le prestige de l’INRS en matière d’excellence de la recherche, associé au fait qu’il accueille exclusivement des étudiantes et étudiants de cycles supérieurs, constituait des arguments convaincants pour choisir cet établissement. La perspective de rejoindre une communauté dédiée à la recherche m’enthousiasmait énormément. »
Pierre-Alexandre Rochette (doctorat en virologie et immunologie, 2015)
Directeur de territoire, Amérique latine et Caraïbes, New England Biolabs
« Mon expérience m’a appris que l’INRS regorge d’opportunités ; il suffit d’aller les chercher et de saisir les synergies qui se créent avec notre entourage. »
Jacinthe Côté (doctorat en biologie, 2011)
Directrice principale, Innovation et R&D, Farinart
« J’ai remarqué que ça avait augmenté la valeur des mots qui sortaient de ma bouche. En fin de compte, le doctorat m’a permis de faire plein de choses qui n’étaient pas sur ma voie initiale. »
Jérémy Gelb (doctorat en études urbaines, 2022)
Conseiller en science des données, Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM)
« Cultivez un esprit ouvert, soyez curieux et critiques, explorez différentes voies et n’hésitez pas à tenter votre chance. »
Eric Bergeron (maîtrise en télécommunications, 1995)
Fondateur et président-directeur général, Flyscan Systems
« Comme le hockey, l’entreprenariat est un sport de jeunes. Vous n’êtes pas trop jeune pour démarrer une entreprise. Au contraire, plus on est jeune quand on connait l’échec, plus on peut se relever et bâtir sur cette expérience pour repartir à neuf. »
Annie Poulin (doctorat en sciences de l’eau, 2008)
Professeure à l’École de technologie supérieure, département de génie de la construction
« C’est exactement ce dont j’avais besoin : des personnes qui croyaient en moi, qui voyaient plus grand que moi et en mes capacités. Chaque fois que je parlais à mes mentors, ils me lançaient des défis de plus en plus grands en soulignant mon potentiel pour devenir professeure. Alors, j’ai saisi l’occasion ! »
Jean Philippe Chenel (maîtrise et doctorat en sciences de l’eau, 2005 et 2011)
Directeur à l’innovation, Consortium de recherche et d’innovation en bioprocédés industriels au Québec (CRIBIQ)
« À l’INRS, les étudiants font leurs recherches eux-mêmes. On utilise les outils du laboratoire, on fait nos propres manipulations. On comprend mieux et on apprend tellement plus. »
Bélinda Crobeddu (doctorat en biologie, 2023)
Conseillère à la recherche au Collège Montmorency
« L’INRS a été une révélation pour moi. Je me suis sentie comme une personne et non comme un chiffre parmi des milliers d’autres. »
Audrey Maheu (doctorat en sciences de l’eau, 2016)
Professeure-chercheure à l’Université du Québec en Outaouais
Département des sciences naturelles
« Poser des questions, explorer de nouvelles idées et chercher des réponses, voilà ce qui me passionne. »
Marc-André St-Yves (Maîtrise en mobilisation et transfert des connaissances, 2022)
Directeur général et associé principal, Guérilla innovation
Lead Recherche et Innovation, Espace-inc
« Tout au long de ma maîtrise et grâce au parcours proposé par chacun des professeurs engagés et passionnés, j’ai pu acquérir des connaissances qui m’ont permis de développer de nouvelles compétences clés pour naviguer dans l’interface sociale de la recherche et de l’innovation. La MOB est ni plus ni moins qu’un cadre transformateur pour moi. »
Tarek Rouissi (doctorat en sciences de l’eau, 2012)
Professeur à l’Institut national de la recherche scientifique
« Mes années en tant qu’étudiant ont été tout simplement exceptionnelles. J’ai eu la chance de collaborer avec des équipes dévouées, attentives, toujours prêtes à former et à soutenir les étudiantes et étudiants, ce qui constitue un point fort de l’INRS. »
Sandra Imbeault (doctorat en sciences de l’eau, 2005)
Chimiste et microbiologiste agréée,
Service de la gestion de l’eau, Division Laboratoires, Ville de Laval
« L’INRS, c’est une belle famille. Je remercie tous ceux et celles que j’y ai côtoyés et j’espère avoir à nouveau le plaisir de brasser des neurones ensemble dans l’avenir. »
Antonin Labossière (maîtrise en études urbaines, 2012)
Associé chez Rayside Labossière
« Pour moi, la contribution à la ville va bien au-delà de l’environnement bâti. C’est la façon dont les gens y vivent et occupent l’espace qui est fort intéressante. Il y a tellement d’autres façons de lire la ville, non seulement par le patrimoine architectural, mais par une compréhension plus complète de ses particularités culturelles, de son identité et de ses dynamiques sociales. »
Marie-Odile Melançon (maîtrise en études urbaines, 2019)
Cheffe de divisions, soutien au développement culturel, Ville de Montréal
« L’INRS est une petite université par sa taille, mais elle a un regard projeté sur le monde et cela est une force. La rigueur de l’analyse du travail de recherche est quelque chose que j’ai pu véritablement approfondir au centre UCS ainsi que les enjeux liés au domaine de la culture. »
Oussama Moutanabbir (doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, 2005)
Professeur titulaire, Département de génie physique, Polytechnique Montréal
« Mon parcours à l’INRS m’a appris à me distancier des sujets à la mode et à me concentrer plutôt sur ma capacité à offrir des réponses à des questions fondamentales, à fournir une contribution qui a un impact pour la société. »
Claudie Noël (maîtrise en sciences expérimentales de la santé, 2016)
Directrice principale, Opérations, Montréal InVivo
« Il faut oser, explorer, saisir les opportunités, se faire valoir et prendre sa place. Il n’y a pas de parcours parfait. On doit persévérer et apprendre constamment, tout en ayant du plaisir. »
Silvana Jananji (maîtrise en virologie et immunologie, 2004)
Scientifique en pharmacologie in vitro, Ventus Therapeutics
« Les habiletés en résolution de problèmes, en communication et en vulgarisation scientifique sont des qualités que j’ai pu acquérir lors de mon passage à l’INRS et qui ont été essentielles à mon développement en tant que scientifique. »
Rimeh Daghrir (maîtrise (2010) et doctorat (2013) en sciences de l’eau)
Conseillère à la recherche en sciences appliquées, Université de Montréal
« Mon parcours à l’INRS m’a appris l’importance d’avoir un esprit de collaboration, non seulement au niveau de la recherche, mais dans tout projet. Pour évoluer, réussir et innover, il faut impliquer les autres. »
Vincent Laderriere (doctorat en sciences de l’eau, 2022)
Chercheur en écologie des sols, Centre national de recherche scientifique (CNRS)
« Il faut profiter de ce que j’appelle le droit à l’errance. Étudier est une chance. Plus encore dans un environnement comme l’INRS où beaucoup de disciplines scientifiques se côtoient. »
Yassine Ouarda (Maîtrise et doctorat en sciences de l'eau (2014, 2020)
Chef de projets en traitement des eaux, Enviro-Experts
« Si j’avais à offrir un conseil aux étudiantes et étudiants actuels et futurs, ce serait de développer et garder un bon réseau de contacts. Maintenez de bonnes relations avec vos collègues et partagez vos expériences avec d’autres. Les bonnes relations sont une ressource inestimable surtout en préparation à une carrière scientifique. »
Philippe Rivet (maitrise en études urbaines, 2004)
Chef d'équipe, développement social et monitoring, Communauté métropolitaine de Montréal
« La recherche, qui permet de mettre en lumière les bons et moins bons coups, est essentielle au développement de nos villes et l’INRS a toute sa pertinence en préparant des chercheuses et des chercheurs interdisciplinaires de haut niveau prêts à faire face à ces grands défis sociétaux. »
Gervais N. Kamga (Ph.D., télécommunications, 2018)
Fondateur et PDG de Move to Top
« Le Centre Énergie Matériaux Télécommunications offre un environnement stimulant et encourageant. Cela m’a permis de me surpasser. J’ai fait énormément de progrès à tous les niveaux. Non seulement en termes de développement académique, mais aussi aux plans personnel, professionnel et entrepreneurial. »
Marilyne Labrie (Ph. D. en immunologie et virologie, 2016)
Professeure adjointe, Université de Sherbrooke
« J’ai été rapidement charmée par le Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie, un lieu idéal pour moi, par sa taille humaine, l’énergie conviviale et le travail collaboratif, de même que pour le travail et le soutien des techniciennes et techniciens travaillant sur les plateformes de recherche. »
Carolina Sanabria Solano (M. Sc., 2012, et Ph. D. en immunologie et virologie, 2016)
Directrice des services botaniques, Les Fermes Lufa
« C’est grâce à ce que j’ai appris à l’INRS que je suis devenue aujourd’hui la scientifique que je suis. »
Frédéric Bouchard (Ph. D. en sciences de la Terre, 2013)
Professeur adjoint au Département de géomatique appliquée de l’Université de Sherbrooke
« L’INRS présente de grands avantages : une bonne expérience scientifique et humaine et un accès en tout temps à des laboratoires ultra modernes équipés de tous les appareils dont on a besoin pour effectuer des analyses de façon efficace et automatisée. »
Alix Bukkfalvi-Cadotte (M. Sc., Mobilisation et transfert des connaissances, 2021)
Doctorante en études médicales et de soins de santé
Swansea University, au Royaume-Uni
« C’est essentiel d’avoir accès à des bourses lorsqu’on décide d’entreprendre des études supérieures. Cela atténue, entre autres, l’impact de la hausse des coûts de la vie et a une incidence considérable sur notre parcours universitaire. »
Brahim Aïssa (PhD, sciences de l'énergie et des matériaux, 2010)
Scientifique principal et professeur associé
Institut de recherche sur l'environnement et l'énergie du Qatar/HBKU/Fondation du Qatar
« Il n’existe pas de raccourcis qui mènent vers le succès. La ténacité paie. C’était la devise de mes professeurs au centre Énergie Matériaux Télécommunications lorsque je le fréquentais et c’est ce qui m’inspire encore aujourd’hui. »
Elsa Goerig (PhD, sciences de la Terre, 2017)
Chercheuse postdoctorale, Museum of Comparative Zoology, Université Harvard
« Mon passage à l’INRS m’a permis d’acquérir différentes compétences, toutes complémentaires les unes aux autres. »
Judith Mogouong (PhD, biologie, 2022)
Chercheuse postdoctorale à l'Université Cornell
« La persévérance, la rigueur et la détermination font partie des qualités que j’ai pu approfondir pendant mes quatre années de doctorat à l’INRS . »
Ahlem Zaghmi (PhD, sciences de l’énergie et des matériaux, 2021)
Chercheuse postdoctorale à l’Institut Karolinska, Suède
« Le doctorat n’est pas juste un travail de recherche, c’est aussi une chance de se développer personnellement et cela nous permet de nous intégrer et d’agrandir notre réseau de contacts. »
Seda Yasa (PhD, biologie, 2022)
Chargée de recherche postdoctorale, Centre de médecine génomique, Université Harvard
« Sans un soutien financier adéquat, il est presque impossible de faire de la recherche. J’ai été extrêmement privilégiée d’avoir le soutien de l’INRS grâce à l’obtention de bourses et de prix. Cela m’a permis de me concentrer sur mes travaux de recherche. »
Bruno Boussicault (Maîtrise en sciences de la Terre, 2008)
Géologue et géophysicien chez ConeTec, Peru S.A.C.
« Le réseau de professionnels mis à la disposition des étudiantes et des étudiants pour les encadrer et les diriger dans leurs travaux était excellent. Je me suis senti soutenu tout au long de mon parcours, même lorsqu’il y avait des difficultés inhérentes à mes recherches. »
Valérie Guilmain (Maîtrise en pratiques de recherche et action publique, 2010)
Agente de planification socio-économique sénior, ministère de la Culture et des Communications du Québec
« L’INRS se démarque parmi les grandes universités, car les étudiants peuvent travailler facilement avec des professeurs qui sont accessibles et qui disposent d’un réseau important dans plusieurs secteurs d’activités. »
Golara Golbaghi (PhD, biologie, 2020)
Scientifique-développeuse adjointe, Turnstone Biologics
«La leçon la plus importante que j’ai apprise pendant mes études à l’INRS est de toujours sortir des sentiers battus. Si un projet ne fonctionne pas, il y a généralement une façon de l’envisager sous un nouvel angle. Des résultats négatifs peuvent ouvrir de nouvelles portes. »
Valérie Ouellet (M.Sc. 2006 et PhD en sciences de l’eau, 2013)
Scientifique spécialiste des espèces diadromes, National Oceanic and Atmospheric Administration
« La force de l’INRS, c’est sa structure basée sur sa collégialité. Pendant mes études, j’ai pu proposer des idées et être appuyée autant par les professeurs que le personnel. La vie étudiante et le cheminement des étudiants sont mis à l’avant-plan. »
Alice Gaudreau (M.Sc. Mobilisation et transfert des connaissances, 2020)
Analyste de politiques, Emploi et Développement social Canada (EDSC)
«La formation que j’ai reçue à l’INRS m’a permis de comprendre l’importance de la recherche dans la société et de pouvoir l’appliquer dans différents milieux de pratique, incluant les milieux gouvernementaux et communautaires. »
Hamza Loucif (PhD, virologie et immunologie, 2022)
Stagiaire postdoctoral, virologie et immunologie, Université McGill
« Mes études à l’INRS ont eu un impact positif sur mon parcours professionnel. J’y ai rencontré des professeurs inspirants et passionnés par la recherche. Cela été un véritable tremplin dans mon parcours. »
Arnaud Alriq (M.Sc. études urbaines, 2002)
Responsable de développement, Urbanis
« L’INRS m’a appris à développer mon esprit d’analyse, et à structurer mes idées grâce à un enseignement basé sur la définition d’un cadre de recherche en amont. »
Elyas Aissia (M.Sc. sciences de l’eau, 2021)
Communicateur scientifique, LaSciencedAbord, et administrateur, Science pour tous
« L’INRS m’a appris à communiquer la science de façon efficace et intelligible selon le public cible. Ma formation a dépassé les frontières du laboratoire. »
Lan Huong Tran (PhD, sciences de l’eau, 2009)
Associée de recherche, INRS
« L’INRS m’a bien préparée pour ma carrière de scientifique. J’y ai appris à travailler de façon autonome et efficace pour faire le pont entre la recherche et l’application. »
Achref Methenni (PhD, télécommunications, 2018)
Consultant, aide technique pour les réseaux de communications sans fil, chez Rogers Communications
« Mon expérience de recherche à l’INRS m’aura permis de laisser libre cours à ma créativité, une force qui m’aide aujourd’hui à aller de l’avant dans chacun de mes projets en proposant des idées novatrices et une perspective différente. »
Marie-Lise Tremblay (Ph.D. sciences de l’énergie et des matériaux, 2011)
Chercheuse et chargée de projet chez Hydro-Québec
« L’INRS m’a permis de faire le lien entre la recherche scientifique et l’industrie et d’accomplir des réalisations concrètes en utilisant la science pour régler des enjeux. »
Jean-François Montreuil (Ph. D. sciences de la Terre, 2016)
Vice-président, Exploration, chez Red Pine Exploration et géologue en chef chez MacDonald Mines Exploration
« J’ai apprécié la dimension appliquée des recherches effectuées dans le cadre de mon doctorat à l’INRS, qui ont permis d’éclairer des décisions d’explorer pour de nouvelles ressources minérales ou de revitalisation d’anciens sites miniers ».
Lalit Kumar (Ph. D. sciences de l’eau, 2020)
Stagiaire postdoctoral à l’INRS
« J’ai choisi l’INRS pour mes études parce qu’il dispose d’installations de calibre mondial pour effectuer des travaux de recherche. Cela m’a vraiment aidé à apprendre et à grandir en tant que chercheur ».
Guillaume Nielsen (M. Sc. sciences de la Terre, 2012, et Ph. D. sciences de la Terre, 2018)
Titulaire de la chaire de recherche industrielle en assainissement des mines du Nord à l'Université du Yukon
Il dit avoir « adoré » son expérience « très professionnalisante » à l’INRS. Il bénéficie encore aujourd’hui du réseau personnel et professionnel qu’il y a développé.
Christelle Paré (Ph. D. études urbaines, 2016)
Chercheuse indépendante et enseignante l’École nationale de l’humour
Elle estime que sa capacité à adopter une perspective globale sur l’industrie lui vient de sa formation à l’INRS, où on lui a enseigné l’importance d’un bon cadre conceptuel.
Jonathan Denis-Jacob (M. Sc. études urbaines, 2011)
Directeur et chef des services-conseils, Colliers International
Il estime qu’étudier à l’INRS, équivaut à « avoir un emploi à temps plein en recherche ». Les multiples possibilités de collaborer à des projets de recherche avec différentes agences, le gouvernement fédéral ou la Ville de Montréal en parallèle de son projet de maîtrise, ont constitué « la meilleure préparation » au marché du travail qui soit.
Samuel Vézina (Ph. D. démographie, 2019)
Analyste, Statistique Canada
Samuel a trouvé à l’INRS « une niche qui permet d’utiliser une technique de pointe pour faire la différence non seulement en démographie, mais aussi en sociologie, en économie et en santé publique ».
Daria Riabinina (Ph. D. sciences de l’énergie et des matériaux, 2007)
Directrice, Transferts de technologies, Ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec
Barbara Augustin (M. Sc. microbiologie appliquée, 2006)
Enseignante, Cégep de Saint-Laurent
Elle estime que l'encadrement exceptionnel qu'elle a reçu lors de son passage à l'INRS lui a permis d’acquérir un excellent bagage de connaissances qu’elle transmet aujourd’hui au quotidien. C’est cette base solide qui lui a donné la confiance nécessaire pour oser entreprendre une carrière en enseignement.
Marie-Pierre Ippersiel (Ph.D. Études urbaines, 2004)
Présidente et directrice générale, PRIMA Québec
« L’absence de départements ou encore de facultés – propres aux universités – m’apparaît être un avantage où l’on sent que ce sont les thèmes de recherche qui guident l’organisation ».
Carole-Anne Gillis (Ph. D. sciences de l’eau, 2017)
Directrice de recherche, Conseil des ressources Gespe’gewaq Mi’gmaq
Lorsqu’elle est arrivée à l’INRS en 2009, elle dit s’être « ouverte à différentes expériences de travail et de stages, ainsi qu'à des opportunités de formation ». Elle encourage les étudiantes et étudiants à saisir les diverses occasions de développement professionnel qui se présentent.
Étienne Lyrette (M.Sc. études urbaines, 2003, et Ph.D. études urbaines, 2010)
Directeur du Cabinet du président et du directeur général, STM
« C’est un endroit qui présente plusieurs opportunités, je n’ai jamais manqué d’options ni de travail tout au long de mon parcours. J’ai été impliqué dans divers groupes de recherche, qui bien souvent, n’étaient pas liés à ma thèse de doctorat ».
Anne-Pascale Richardson (Ph.D. biologie, 2009)
Responsable de programme, AquaHacking
« ... Cela m’a suivie après, car j’ai évolué dans des structures diversifiées. Cela nous permet de sortir des sentiers battus, d’innover dans notre domaine et d’aider les autres à évoluer dans leur domaine également ».
Lire plusÉtienne Richer (Ph.D. virologie et immunologie, 2005)
Directeur scientifique associé, Institut de génétique des Instituts de recherche en santé du Canada (IG-IRSC)
Photo © Christian Fleury
Son passage à l’INRS, marqué par de nombreuses occasions de réseautage et d’engagement, l’a bien préparé pour entreprendre son avenir professionnel.
Lire plusGuillaume Côté (M. Sc. études urbaines, 2002 et Ph.D. études urbaines, 2007)
Directeur principal Stratégie, Collins Aerospace
« Il faut être passionné. Une maîtrise ou un doctorat, on ne le fait qu’une fois. Il faut apprécier ce que l’on fait pour avoir de l’énergie dans la durée. »
Guillaume A. Girard (M. Sc. sciences de l’énergie et des matériaux, 2005)
Ingénieur sénior, Ingénierie des systèmes, ABB Inc.
« Il faut aussi développer une persévérance par rapport au travail de recherche ». Selon lui, il est important de s’ouvrir aux critiques et parfois, cela nécessite une certaine dose d’humilité et de remise en question.
Sébastien Fecteau (M. Sc. sciences de l'eau, 2006)
Vice-président Énergie National, WSP
« [L'INRS m'a permis] de faire un changement de carrière et d’obtenir le stage chez Genivar qui m’a mené à mon emploi actuel ».
Vous êtes diplômée ou diplômé de l'INRS et vous souhaitez aussi nous partager vos souvenirs et vos expériences? Nous avons hâte de les découvrir !