À l’approche de la journée nationale de la philanthropie, célébrée le 15 novembre, nous sommes fières de souligner le rôle essentiel de nos donateur·ice·s pour la réalisation de projets de recherche stratégiques qui répondent aux défis de notre société. Cette semaine, un bel exemple de ce que la philanthropie nous permet de réaliser a été partagé dans le cahier spécial Philanthropie du journal Le Devoir, consacré au projet mené par Kokou Adjallé, chercheur à l’INRS, qui bénéficie du soutien de notre Fondation.
Le travail de son équipe de recherche vise à valoriser les résidus fermentescibles des entreprises et consiste à transformer des matières organiques en ressources précieuses pour l’économie circulaire, notamment la production d’énergie renouvelable ou la création de fertilisants naturels.
« Beaucoup de recherches s’intéressent aux résidus, mais nous sommes les seuls à nous concentrer sur les résidus qu’on peut faire fermenter sans avoir à les modifier ou à les prétraiter en amont », explique M. Adjallé.
Crédit photo: Kokou Adjallé
Crédit photo: INRS
L’an dernier, M. Adjallé et son équipe ont entrepris de caractériser et de cartographier les résidus fermentescibles produits par les entreprises du Québec afin de faciliter le partage de l’information et permettre à d’autres entreprises de prendre connaissance de leur existence pour leur donner une seconde vie.
Grâce à l’engagement de notre communauté philanthropique, notamment de la RBC Fondation, de Stantec et des donateurs de la Fondation de l’INRS, des projets comme celui de Kokou Adjallé et de son équipe peuvent voir le jour et produire des retombées économiques, sociales et culturelles. Votre générosité nous permet de mener des projets porteurs pour le Québec et, au-delà, d’illustrer ainsi l’impact significatif de la philanthropie pour la recherche scientifique. Merci!
Pour en savoir plus sur ce projet ambitieux, consultez l’article paru dans Le Devoir.