Ce prix représente une importante reconnaissance de mon dévouement, de mon engagement, de mes efforts et du travail accompli. Cette reconnaissance représente un encouragement à poursuivre mes objectifs de carrière reliés à la recherche et met en lumière la pertinence de mes travaux face aux défis environnementaux imminents. 

Claudie Ratté-Fortin (Ph. D. Sciences de l’eau, 2020) | Sous la codirection de Karem Chokmani et Isabelle Laurion | Prix meilleure thèse de doctorat, 2020 

La thèse doctorale de Claudie porte sur les problèmes de qualité de l’eau des écosystèmes aquatiques. Ses travaux et ceux de ses collègues ont d’abord permis d’offrir aux intervenants du milieu une procédure permettant d’évaluer la qualité de l’eau des lacs en temps réel grâce à la télédétection satellitaire. Ces recherches ont mené au développement d’un modèle statistique unique permettant d’évaluer des scénarios de restauration d’un plan d’eau en prévision des changements climatiques ou des changements apportés au territoire.

 

Je suis surpris et heureux d’avoir reçu ce prix, puisque je n’ai jamais été un étudiant modèle et que je fais un retour aux études. Ça montre que quand on aime ce qu’on fait, ça nous permet de bien performer. Après tout, c’est la chose la plus importante à retenir à la maîtrise : il faut aimer son projet.

Dominic Thériault (M. Sc. Sciences de l’eau, 2020) | Sous la direction de Karem Chokmani | Prix meilleur mémoire de maîtrise, 2020 

Dans sa recherche, Dominic s’est intéressé aux méthodes de contrôle du doryphore, un insecte ravageur des cultures de pommes de terre. Plus particulièrement, il a élaboré un protocole et un code informatique pour effectuer un dépistage rapide et efficace à l’aide d’un drone équipé d’une caméra, afin de cibler les foyers d’infestation dans les parcelles agricoles et d’effectuer des interventions plus ciblées. Il estime que cette approche permettrait de réduire de 80% l’épandage d’insecticides, dégageant des économies et atténuant les risques pour la santé humaine et environnementale.

Maintenant à l’emploi d’Environnement et Changements climatiques Canada, Dominic met son expertise en géomatique, modélisation et intelligence artificielle au service de l’écohydrologie.

 

Obtenir un prix à ce niveau académique représente forcément beaucoup et je l’ai accueilli comme le témoin de mes propres progrès et comme une très belle fin de mon parcours académique.

Maxime Fossey (Ph. D. Sciences de l’eau, 2016) | Prix meilleure thèse de doctorat, 2016 

« Sur le plan académique, ce prix représente deux choses. En premier lieu, il vient mettre en valeur l’ensemble d’un travail d’équipe, celle du professeur Alain Rousseau, dans laquelle j’ai évolué durant mes années de doctorat. Et j’avoue avoir été très fier d'obtenir ce prix pour l’équipe et pour Alain. Il est le résultat du beau travail collectif réalisé. Ensuite bien évidemment, à titre personnel, j’étais très heureux de recevoir cette distinction. Vous savez, comme beaucoup d’étudiants au Québec, je me suis expatrié pour venir faire mon doctorat et ce après plusieurs années en tant que professionnel. J’ai beaucoup appris, remis en questions certains acquis et consolidé certains autres. Obtenir un prix à ce niveau académique représente forcément beaucoup et je l’ai accueilli comme le témoin de mes propres progrès et comme une très belle fin de mon parcours académique.

Sur le plan professionnel, ce prix m’a conforté dans l’envie de poursuivre cette démarche de recherche appliquée. En effet, la reconnaissance de nos travaux traduisait, selon moi, le besoin de liens directs entre travaux de recherche et enjeux societaux. Ainsi, dans tous les postes occupés depuis, je tente de développer des connaissances et des méthodologies qui permettent de répondre au mieux aux enjeux environnementaux, au sens large, auxquels sont confrontés nos sociétés. »

 

Le prix de la meilleure thèse de doctorat a été l’occasion de saluer tous mes efforts. Il m’a poussé à continuer sur ma lancée et à entreprendre des recherches postdoctorales.

Michel Lavoie (Ph. D. Sciences de l’eau, 2013) | Prix meilleure thèse de doctorat, 2013

« Le prix de la meilleure thèse de doctorat a été l’occasion de saluer tous mes efforts. Il m’a poussé à continuer sur ma lancée et à entreprendre des recherches postdoctorales particulièrement pluridisciplinaires dans la même lignée que celles que j’ai mené à l’INRS. C’est motivant de voir que nos efforts sont récompensés et que notre travail de chercheur est reconnu. Je vous remercie de mettre en place des programmes de prix d’excellence qui encourage les étudiants à se dépasser, à continuer à innover et oeuvrer en sciences après nos études.

Je crois que réaliser une thèse de doctorat est une démarche de moine, un travail de très longue haleine et que chaque doctorant amène à sa façon des réponses aux grands enjeux environnementaux actuels. Derrière chaque thèse, quelqu’un a contribué à façonner les connaissances scientifiques et à bâtir un monde meilleur. On ne les remerciera jamais assez pour leur don de soi et leur don de temps. » 

 

 

Ce prix couronnait concrètement les efforts fournis au fil des années et me donnait un sentiment de fierté et de confiance en moi.

Isabelle Fournier (M. Sc. Sciences de l’eau, 2016) | Prix meilleur mémoire de maîtrise, 2016 

« En 2016, j’ai reçu le prix du meilleur mémoire de maîtrise du Centre Eau Terre Environnement. Au-delà d’une reconnaissance purement symbolique, ce prix couronnait concrètement les efforts fournis au fil des années et me donnait un sentiment de fierté et de confiance en moi qui m’ont suivi tout au long de mes études de doctorat.

Il n’y a aucun doute que cet apport conséquent à mon dossier aura contribué à me faire accepter dans un excellent laboratoire et à recevoir une bourse du Fond de Recherche du Québec - Nature et Technologie. Au moment où j’écris ces quelques lignes, je viens tout juste de terminer mon doctorat, surfant toujours sur cette vague de fierté, de confiance et d’accomplissement. »

 
 

Ces reconnaissances m’ont insufflé une confiance professionnelle et personnelle. C’est donc sans complexe que j’accompagne ma signature d’un «M. Sc.» et que j’ose dire à mes enfants que leur maman est une scientifique.

Châtelaine Beaudry (M. Sc. sciences de la Terre, 2013) | Prix meilleur mémoire de maîtrise, 2013

« Ma maîtrise à l’INRS s’est inscrite dans un contexte de retour aux études. Cette intrusion tardive dans le domaine de la recherche scientifique s’est révélée être un réel coup de cœur, ayant permis d’élargir mes horizons en tant qu’ingénieure et de réajuster mes visées professionnelles. Mon passage s’est conclu par l’obtention du prix « meilleur mémoire de maîtrise », puis par la publication d’un article scientifique. Ces reconnaissances m’ont insufflé une confiance professionnelle et personnelle. C’est donc sans complexe que j’accompagne ma signature d’un «M. Sc.» et que j’ose dire à mes enfants que leur maman est une scientifique. »

 

DÉCOUVREZ NOS LAURÉAT·E·S 2021