Soulignée le jour du solstice d’été, le 21 juin, la Journée nationale des peuples autochtones est une occasion de souligner la richesse et la diversité des expressions culturelles et des histoires des Premières Nations, des Inuit et des Métis.
Voici quelques-uns de nos projets Impulsion INRS qui comprennent une étroite collaboration de nos scientifiques à l’Institut national de la recherche scientifique avec les Premiers peuples et qui aspirent à contribuer au mieux-être et à la viabilité des populations et à la préservation des territoires, dans une perspective de réconciliation :
- Le projet IA-CAIMAN est un réseau de caméras installées dans sept communautés du Nunavik visant à étudier l’évolution des conditions de glace, à faire avancer et partager les connaissances sur l’adaptation aux changements climatiques qui affectent particulièrement les populations autochtones.
- iTrackDNA permet le suivi des impacts environnementaux à l’ère du changement climatique grâce à des outils d’analyse d’ADN environnemental innovants, accessibles et socialement responsables. Les décisions de gestion des ressources naturelles prises par les communautés canadiennes, les Premières Nations et diverses industries nécessitent des informations pertinentes concernant les risques et les effets des activités humaines sur l’environnement et les milieux naturels.
- L’initiative Modélisation des liens entre les changements climatiques, la santé publique et la sécurité alimentaire permettra de mieux cerner ces enjeux et de prioriser les impacts potentiels sur la population. Les effets des dérèglements climatiques observés au Québec augmentent les inégalités sociales, notamment pour les populations autochtones et nordiques et les transformations sur leurs habitudes de vie et pratiques alimentaires traditionnelles.
- L’unité mixte de recherche (UMR) INRS-UQAT en études autochtones à Val-d’Or est un pôle d’excellence touchant l’éducation, le territoire, l’autodétermination, la revitalisation des langues autochtones et l’urbanité contemporaine en générant une co-construction de savoirs qui profiteront à l’ensemble du Québec.