Félicitations à nos six nouveaux lauréat·e·s des Bourses de réussite étudiante J.A. DeSève qui reçoivent chacun·e 5 000 $ pour souligner leur persévérance et leur détermination et les appuyer dans la complétion de leur programme de maîtrise ou de doctorat.
Découvrez les six étudiant·e·s qui reçoivent cette bourse :
Yassine Abdelmalki, doctorant en biologie, sous la direction de la professeure Marie-Claude Sincennes
« Recevoir la bourse J.A. DeSève constitue un honneur immense et une reconnaissance précieuse de mon engagement envers la recherche scientifique. Cette distinction témoigne de la confiance accordée à la pertinence de mes travaux et à la rigueur de mon cheminement académique. »
- Qu’est-ce qui vous a amenée à l’INRS ? Que retenez-vous de votre expérience?
Menée par une quête d’excellence dans chaque facette de mon parcours, il m’a semblé naturel de choisir l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) pour entreprendre mes études doctorales en biologie. L’INRS incarne, à mes yeux, l’alliance rare d’un enseignement rigoureux, d’une recherche de pointe et d’un environnement hautement collaboratif. Mon expérience y a été profondément marquante : au-delà des infrastructures scientifiques de premier ordre, c’est l’esprit d’innovation, l’accompagnement personnalisé et l’ouverture interdisciplinaire qui ont façonné mon développement, tant intellectuel que professionnel. Intégrer cette communauté de chercheur·euse·s engagé·e·s a été un privilège et un moteur quotidien vers l’excellence. - Pouvez-vous nous décrire l’enjeu et l’impact de votre projet de recherche?
Au cœur de mon projet de recherche se trouve l’étude du rhabdomyosarcome fusion-positif, une tumeur pédiatrique rare et agressive pour laquelle les options thérapeutiques demeurent limitées. Mon travail vise à comprendre le rôle central de la protéine de fusion PAX7-FOXO1 dans la dérégulation de l’expression génétique et le processus tumoral. En identifiant les gènes cibles critiques de cette protéine et en explorant de nouvelles pistes thérapeutiques, mon projet ambitionne de réaliser des avancées significatives. À terme, il vise à favoriser l’émergence de traitements plus spécifiques, plus efficaces et mieux tolérés, au bénéfice de jeunes patient·e·s pour qui les besoins médicaux demeurent criants. - Que signifie pour vous le fait de remporter cette bourse?
Recevoir la bourse J.A. DeSève constitue un honneur immense et une reconnaissance précieuse de mon engagement envers la recherche scientifique. Cette distinction témoigne de la confiance accordée à la pertinence de mes travaux et à la rigueur de mon cheminement académique. Elle représente également un puissant encouragement à poursuivre avec passion et détermination la quête de solutions innovantes face aux défis posés par les cancers pédiatriques. À travers cette bourse, je mesure pleinement l’importance du soutien institutionnel dans l’épanouissement de la relève scientifique. - Comment envisagez-vous la suite des choses?
Fidèle à la dynamique d’excellence qui a guidé mon parcours, je compte poursuivre mes recherches avec la même exigence et la même ambition. À moyen terme, je souhaite approfondir mes expertises, multiplier les collaborations, et contribuer à l'avancement des connaissances en biologie du cancer à travers des projets de recherche d'envergure. À plus long terme, j’aspire à développer une carrière de chercheur indépendant, guidé par la volonté de faire rayonner la science au service de la santé publique, et d’inspirer une nouvelle génération de scientifiques à repousser sans cesse les frontières du savoir.
Hermine Counil, doctorante en biologie, sous la direction du professeur Charles Ramassamy
« L’obtention de cette bourse me permet de terminer mon travail au laboratoire et de soutenir ma défense de thèse de façon plus sereine. Le soutien moral et financier de l’INRS a fait une grande différence à la réussite de mes études. »
- Qu’est-ce qui vous a amenée à l’INRS ? Que retenez-vous de votre expérience?
J’ai découvert l’INRS en 2019 durant mes études de Master par le biais d’une collaboration entre des équipes de recherche en France et au Québec. Durant ce stage, j’ai eu l’occasion d’échanger avec le Professeur Ramassamy et j’ai ainsi découvert l’univers des vésicules extracellulaires. Nos échanges ont abouti à la création d’un projet portant sur l’implication de ces vésicules dans la pathogénèse de la maladie d’Alzheimer et à mon installation au Canada pour réaliser mon doctorat à l’INRS.
Mon expérience a été très riche, tant d’un point de vue scientifique et professionnel qu’humain. J’ai beaucoup évolué et j’ai fait de très belles rencontres parmi la communauté étudiante et professorale. Il est certain que certaines relations perdureront dans le temps. - Pouvez-vous nous décrire l’enjeu et l’impact de votre projet de recherche?
Mon projet de doctorat a permis de démontrer que les vésicules extracellulaires libérées par tous les organes et circulantes dans le sang traversent la barrière hématoencéphalique et atteignent le cerveau. Ces travaux sont d’une importance majeure car nous démontrons pour la première fois que les vésicules périphériques peuvent modifier l’activité des cellules immunitaires et neuronales du cerveau et créer un environnement pro-inflammatoire associé à la maladie d’Alzheimer. De ce fait, les vésicules périphériques pourraient médier les relations entre les pathologies inflammatoires affectant les organes périphériques et le développement de maladies cérébrales telles qu’Alzheimer. D’autres études sont nécessaires pour confirmer ces résultats chez l’homme, mais nos données sont une percée importante pour une meilleure compréhension de la maladie d’Alzheimer et du fonctionnement cérébral. - Que signifie pour vous le fait de remporter cette bourse?
L’obtention de cette bourse me permet de terminer mon travail au laboratoire et de soutenir ma défense de thèse de façon plus sereine. Le soutien moral et financier de l’INRS a fait une grande différence à la réussite de mes études. Par ailleurs, cette bourse est une belle reconnaissance de ma résilience et de ma passion pour la recherche, malgré les difficultés que l’on peut rencontrer. - Comment envisagez-vous la suite des choses?
Extrêmement passionnée par la recherche, je souhaite effectuer un post-doctorat en neurosciences et possiblement poursuivre une carrière universitaire. Je reste toutefois ouverte aux opportunités. J’ai très hâte de découvrir ce que l’avenir me réserve!
Ramin Farhadiani, doctorant en sciences de l’eau, sous la direction du professeur Saeid Homayouni
« Recevoir la bourse de la Fondation J.A. DeSève est un grand honneur qui me motive à poursuivre mes recherches et me permet de me consacrer pleinement à mon travail. »
- Qu’est-ce qui vous a amené à l’INRS? Que retenez-vous de votre expérience?
J’ai été attiré par l’INRS pour son environnement de recherche de pointe et la possibilité de travailler sous la direction du professeur Saeid Homayouni, dont l’expertise en télédétection m’a inspiré. J’ai acquis des compétences techniques avancées et un esprit collaboratif qui façonneront ma carrière. - Pouvez-vous décrire l’objectif et l’impact de votre projet de recherche?
Mes recherches portent sur l’utilisation du radar à synthèse d’ouverture interférométrique par satellite (InSAR) pour la surveillance des barrages. Je conçois un modèle d’apprentissage profond avancé pour prédire les déformations futures des barrages, ce qui permet de mettre en place un système d’alerte précoce pour améliorer la sécurité et prévenir les ruptures. - Que signifie pour vous l’obtention de cette bourse?
Recevoir la bourse de la Fondation J.A. DeSève est un grand honneur qui me motive à poursuivre mes recherches et me permet de me consacrer pleinement à mon travail. - Comment envisagez-vous les prochaines étapes?
Je prévois d'affiner mon modèle de prédiction par apprentissage profond, de le valider avec des données réelles et de collaborer avec des partenaires de l'industrie pour mettre en œuvre un système d'alerte précoce, contribuant ainsi à des pratiques de gestion des barrages plus sécuritaires au Canada et dans le monde.
Antoine Gillet, doctorant en biologie, sous la direction de la professeure Géraldine Delbès
« Cette bourse vient reconnaitre ma persévérance dans mes recherches et vient en quelque sorte reconnaitre la qualité de mon travail dans le laboratoire. »
- Qu’est-ce qui vous a amené à l’INRS ? Que retenez-vous de votre expérience?
Mon choix de venir à l’INRS a été motivé par le choix de ma directrice de recherche. J’ai eu connaissance des thématiques de recherche de Géraldine Delbès fin 2019 et j’ai tout de suite vu qu’elles étaient en adéquations avec les questions que je me posais à l’époque et mes thématiques d’intérêt, à savoir la toxicologie environnementale et la physiologie de la reproduction. J’ai alors appliqué pour un stage dans son laboratoire en 2020 qui a dû être annulé pour cause de pandémie. Nous avons gardé contact et nous sommes donnés des nouvelles puis en 2021, elle a eu l’ouverture d’un nouveau projet dans son labo, elle me l’a présenté et j’ai tout de suite été motivé et j’ai donc candidaté pour un doctorat sur ce projet.
- Pouvez-vous nous décrire l’enjeu et l’impact de votre projet de recherche?
Mon projet de recherche vise à caractériser l’exposome aérien en milieu urbain et identifier la présence de perturbateurs endocriniens (PE) dans cette matrice. Il faut savoir qu’aujourd’hui, malgré les nombreuses études sur les perturbateurs endocriniens, l’exposome aérien, particulièrement en milieu urbain, est le moins bien caractérisé. Mon projet a donc pour objectif principal de palier à cette lacune et d’améliorer les connaissances à ce sujet. L’impact principal de mon projet est une meilleure caractérisation de l’exposome humain aux PE. Il permettra aussi de montrer que l’air extérieur peut être une source d’exposition et qu’elle ne doit pas être négligée. Il permettra de placer Montréal comme une ville pionnière dans la surveillance des perturbateurs endocriniens dans l’air extérieur et pourquoi pas, motiver cette surveillance dans d’autres villes. A long terme, il pourrait également motiver les décideurs publics à de meilleures réglementations. - Que signifie pour vous le fait de remporter cette bourse?
Cette bourse vient reconnaitre ma persévérance dans mes recherches et vient en quelque sorte reconnaitre la qualité de mon travail dans le laboratoire. Même si cette bourse m’est offerte et reconnait mes réalisations, mon projet est celui d’une grande équipe où chacun travaille fort et donc elle vient également de manière indirecte reconnaitre le travail de tous. Enfin, elle vient également reconnaitre l’implication de ma directrice de recherche qui m’a toujours permis de pouvoir évoluer dans un environnement stimulant et dans des conditions adéquates. - Comment envisagez-vous les prochaines étapes?
Je suis actuellement dans la dernière année de mon doctorat et je vise une soutenance au printemps 2026. A court terme, je souhaite continuer à m’investir pleinement dans mon projet, rédiger ma thèse et soutenir mon doctorat. Tout cela viendra reconnaitre plusieurs années de recherche sur un sujet vraiment passionnant et l’implication d’une grande équipe. A moyen terme, je souhaite prendre du temps pour moi, voyager et réfléchir à mon avenir car je ne suis pas encore certains de mes choix de vie à long terme. J’hésite encore entre un postdoctorat, partir travailler dans l’industrie ou dans les organismes de réglementation (Santé Canada, OCDE...). Mais une chose dont je suis sûr, c’est que je souhaite continuer à travailler dans le domaine de la recherche et plus précisément en toxicologie environnementale. Un élément que j’ai vraiment adoré dans mon projet de doctorat c’est la partie étude sur le terrain et je souhaite continuer cela. Je dirais qu’aujourd’hui mon cœur balance vers un postdoctorat en toxicologie environnementale avec un attrait particulier pour les expositions dans le Grand nord canadien et des Premières Nations.
Andrés Felipe Gonzalez Mora, doctorant en sciences de l’eau, sous la direction du professeur Alain Rousseau
« Avoir remporté la bourse J. A. DeSève de la Fondation de l’INRS m’évoque un grand sentiment de joie et de fierté. Celle-ci représente la persévérance et le dévouement dans mes activités universitaires au cours de ces années à l’INRS. »
- Qu’est-ce que vous a amené à l’INRS? Que retenez-vous de votre expérience?
Après avoir fini mon baccalauréat en Génie agricole en Colombie, j’avais envie de continuer ma formation comme jeune chercheur et contribuer à répondre aux questions au sujet de l’environnement et les ressources en eau dans un climat changeant. C’est ainsi que j’ai choisi de devenir étudiant à l’INRS. Pour moi, le Centre Eau Terre Environnement était et demeure encore un espace propice pour la formation universitaire et professionnelle pour ceux et celles qui sont curieux·ses dans la vie. Mon expérience à l’INRS a été remplie d’apprentissage, de curiosité, de croissance personnelle et d’amitiés. - Pouvez-vous nous décrire l’enjeu et l’impact de votre projet de recherche?
On entend souvent parler des conséquences du réchauffement planétaire sur les cours d'eau. Plus souvent, nous pouvons ressentir ces impacts avec plus d’inondations, particulièrement au Québec, en l’occurrence des crues printanières plus hâtives et crues estivales plus fortes représentant un enjeu majeur pour les populations et l’économie de la région. D’où l’importance de l’étude entre la relation climat-débit et l’intérêt particulier sur la modélisation hydroclimatique pour améliorer notre compréhension de ces évènements extrêmes dans un contexte du changement climatique.
Malgré l’intérêt, l’approche reste complexe à implanter et ses résultats doivent être interprétés avec soin. La modélisation hydroclimatique fait également face à des incertitudes associées à la conception même de la chaîne de modélisation combinant les modèles hydrologiques et scénarios futurs.
Dans le cadre de mon projet de doctorat, je m’intéresse à étudier l’évolution des crues dans les cours d’eau au Québec méridional à partir de l’application des nouvelles approches simplifiées et robustes. Ces nouvelles approches, comprendre l’utilisation d’algorithmes d’apprentissage automatique ainsi que l’application de l’inférence Bayésienne, permettront une estimation de la tendance et une caractérisation de l’incertitude de ces événements d’ici à la fin du siècle. - Que signifie pour vous le fait de remporter cette bourse?
Avoir remporté la bourse J. A. DeSève de la Fondation de l’INRS m’évoque un grand sentiment de joie et de fierté. Celle-ci représente la persévérance et le dévouement dans mes activités universitaires au cours de ces années à l’INRS. Je suis reconnaissant à la Fondation J. A. DeSève et à la Fondation de l’INRS pour l’intérêt envers la communauté étudiante afin d’améliorer nos conditions financières et nous permettre de contribuer à nos domaines de recherche.
- Comment envisagez-vous la suite des choses?
L’obtention de cette bourse me permettra de mener à terme les travaux de recherche de ma thèse à l’INRS, et m’encourage à continuer le travail et ma formation comme jeune chercheur en gardant la curiosité et la rigueur scientifique acquises dans mon parcours à l’INRS.
Chandra Li Hernandez Joa, étudiante à la maîtrise en études urbaines, sous la direction de la professeure Stéphane Guimont-Marceau
« Remporter la bourse J.A. DeSève représente pour moi une reconnaissance importante du travail accompli, ainsi qu’un encouragement à poursuivre mes efforts dans une recherche engagée, rigoureuse et socialement pertinente. »
- Qu’est-ce qui vous a amenée à l’INRS? Que retenez-vous de votre expérience?
Avant d’entreprendre mes études à l’INRS, j’ai travaillé durant quatre ans dans le secteur du tourisme à Cuba. Cette expérience m’a donné envie d’explorer un domaine connexe mais différent : les études urbaines. J’avais le désir de mieux comprendre les dynamiques sociales, spatiales et migratoires qui façonnent nos sociétés, au-delà de la seule perspective touristique.
L’INRS m’a attirée par son approche critique, son ouverture interdisciplinaire et la possibilité de mener une recherche ancrée dans la réalité sociale. Mon parcours ici a été profondément formateur, tant sur le plan intellectuel que personnel. J’ai eu la chance de travailler sur le terrain, en lien direct avec des personnes migrantes, ce qui m’a permis d’aborder la recherche non seulement comme un exercice universitaire, mais aussi comme un engagement humain et social. - Pouvez-vous décrire l'enjeu et l'impact de votre projet de recherche?
Mon projet s’intitule « Cultiver des rêves, surmonter des défis : une exploration des expériences de bien-être de travailleurs agricoles temporaires en Montérégie, au Québec ». Il vise à comprendre comment ces travailleurs vivent leur quotidien dans le cadre du Programme des travailleurs étrangers temporaires et du Programme des travailleurs agricoles saisonniers, en mettant l’accent sur les formes de bien-être qu’ils parviennent à construire malgré les conditions souvent précaires liées à leur statut migratoire, leur isolement social et leur lien de dépendance envers leur employeur.
L’enjeu principal est de mettre en lumière non seulement les défis structurels qu’ils rencontrent, mais aussi leur capacité d’agir et les stratégies qu’ils développent pour préserver leur dignité et leur bien-être. L’impact de cette recherche se situe autant sur le plan scientifique, en enrichissant les connaissances sur les migrations du travail, que sur le plan social, en donnant une voix à une population souvent invisibilisée et en contribuant à une réflexion critique sur les politiques migratoires. - Que signifie pour vous le fait de remporter cette bourse?
Remporter la bourse J.A. DeSève représente pour moi une reconnaissance importante du travail accompli, ainsi qu’un encouragement à poursuivre mes efforts dans une recherche engagée, rigoureuse et socialement pertinente. C’est aussi une belle manière de valoriser la recherche qualitative et sensible aux réalités vécues sur le terrain et je suis très reconnaissante à la Fondation de me permettre de mener à bien la rédaction de mon mémoire dans de meilleures conditions. - Comment envisagez-vous la suite des choses?
Je poursuis actuellement la rédaction de mon mémoire, que je prévois de déposer à l’été 2025. Par la suite, j’aimerais continuer à travailler sur les questions migratoires, que ce soit dans le milieu universitaire ou communautaire.
Nous tenons à remercier notre donateur pour son soutien renouvelé. En contribuant à la réussite étudiante, la Fondation J.A. DeSève témoigne de sa confiance envers la relève scientifique et de son engagement envers le développement de la société par la recherche. Sa générosité permet de valoriser le travail, la persévérance et la résilience de jeunes chercheur·euse·s en devenir, la relève scientifique du Québec et au-delà.
Félicitations à tou·te·s nos récipiendaires!
Le concours de bourses s’est ouvert en octobre janvier et s’est conclu le 9 décembre. Il a été géré par le Service des études supérieures et de la réussite étudiante (SESRE) et a suscité un vif intérêt de la part de notre communauté étudiante.
La Fondation de l’INRS remercie chaleureusement l’équipe du SESRE pour son précieux soutien, ainsi qu'aux membres du comité de sélection et tous ceux et celles qui ont soumis leur candidature, contribué à la diffusion et assuré le bon déroulement du concours.